Actuellement nous nous situons à l’extrême fin d’un cycle de 65 000 ans qui laissera place à un autre entièrement nouveau.
Depuis les débuts de l’histoire il y a quelque 6000 ans, le développement global de l’humanité a suivi une courbe progressivement ascendante. Et depuis la fin du XVIIIe siècle, cette courbe est devenue exponentielle, coïncidant avec la découverte d’une nouvelle planète, Uranus. Cette tendance s’est accentuée avec la découverte de deux autres planètes plus lointaines, Neptune et Pluton. Aujourd’hui, les progrès de l’humanité ont atteint un tel niveau d’accélération et d’expansion que la courbe, qui à l’origine était presque horizontale, s’est redressée jusqu’à devenir quasiment verticale.
Pour Didier Lustig, cela signifie qu’il reste peu de temps avant que se produise une transformation du monde et de l’humanité d’une ampleur difficile à concevoir.
Basée sur la précession des équinoxes, la théorie des cycles cosmiques décrit des périodes qui s’étendent sur des milliers d’années, appelées ères précessionnelles. Selon cette conception, qu’on trouve tant dans la philosophie grecque que dans le shivaïsme du Cachemire, nous nous situons à l’extrême fin d’un cycle qui durait depuis près de 65 000 ans et qui laissera place à un autre entièrement nouveau. Grâce au symbolisme astrologique, qui par principe est immuable, nous pouvons cependant nous faire une idée de la nature et des enjeux de ce qu’il convient d’appeler la grande mutation.
Image souvenir de la conférence du 4 avril 2024 :
Autre date à Dijon :
Date : mardi 2 avril 2024 à 20h