Le message et la tradition portés par Patrick Le Berre sont sans doute parmi les plus anciens : ils remontent au moins à la fin de la XVIIIe dynastie égyptienne des pharaons Ay et Akhenaton. Ils ont été relayés plus tard par Pythagore dans l’école pythagoricienne, puis par Jean-Baptiste au début de l’ère chrétienne.
Patrick Le Berre a travaillé pendant 14 ans au CEA en qualité d’ingénieur matériaux et de physicien nucléaire. Il était spécialisé dans le piégeage des énergies dans les isolants. Ce mécanisme bien documenté dans les matériaux isolants fonctionne à l’identique dans le corps humain qui est globalement isolant lui aussi. De quoi s’agit-il ?
Nous recevons en permanence des informations sous la forme de photons de lumière. Si elle n’est pas comprise, l’information se fixe dans le corps et attire par la suite des charges électroniques venant de l’extérieur. A l’inverse, si l’information est assimilée, elle est intégrée et sort du corps de façon fluide pour rejoindre la conscience supérieure de l’être. Lorsqu’elle n’est pas comprise, l’information (le plus souvent associée à un événement particulier qui peut engendrer des perturbations émotionnelles) se stocke et se piège. Elle devient une charge d’autant plus difficile à éliminer que tous les événements connexes en lien avec cette première information vont constituer une sorte de carapace. Celle-ci va s’épaissir et se cristalliser autour de la charge initiale pour atteindre un niveau un milliard de fois supérieur à l’énergie de l’événement initial.
Ceci explique nos difficultés à revisiter un événement douloureux, à envisager une autre vision que celle qui a conduit à piéger le traumatisme. Souvent la douleur en annihile même le souvenir, et la seule parole externe ne peut pas être suffisante à sa libération.
Ce dépiégeage est là tout l’art de la philosophie pythagoricienne. <br /> <br /> Patrick Le Berre nous propose de découvrir les fondements de cette pratique, son histoire ainsi que son fonctionnement.
Au cours de cette présentation il sera question de vérités absolues et de vérités relatives, d’ancrage véritable, d’hygiènes de vie, de tradition perdue, d’expansions de conscience et de massages très spécifiques. Mais aussi d’électromagnétisme, d’endocrinologie, de photons et de vitesse de la lumière.
Nous sommes avec ce sujet au cœur de la quête de l’Observatoire qui rapproche sciences et tradition, car nous pensons, comme Patrick Le Berre que si « Science sans conscience n’est que ruine de l’Âme, conscience sans science, n’est qu’illusion de spiritualité ».