Et si la maladie n’était pas un hasard ? Et si elle n’était que la réponse organisée par notre corps pour compenser nos petites et grandes déceptions émotionnelles de la vie ?
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Disons-le ! Il semble que l’approche du docteur Thomas-Lamotte, représente un avenir prometteur pour la médecine. Son approche ne tend pas à supprimer les symptômes, mais bien à en « effacer » la cause. Selon son approche, toutes les maladies surviennent en compensation symbolique in- consciente de nos petites et grandes déceptions émotionnelles.
Bien sûr, d’autres avant lui avaient pressentis ce lien de cause à effets, mais sans en maitriser les enchainements. Le docteur Allemand Ryke Geerd Hamer avait déjà relié la survenance de symptômes au choc psychologique. Le canadien Jacques Martel avait établi une cartographie des malaises et des maladies.
Le docteur Thomas-Lamotte, neurologue, est plus précis. Il observe tout d’abord que l’apparition des symptômes survient souvent 6 mois après un événement imprévu ayant suscité une émotion inavouée. Et cet événement fait toujours écho à un premier événement (intervenu dans l’enfance) qui a en quelque sorte « conditionné » la personne selon le réflexe de Pavlov. Ce réflexe conditionné fonctionne à l’identique pour les « mauvais souvenirs ». La pathologie apparait lorsque le mauvais souvenir est réveillé, même des décennies après le premier événement. Dans tous les cas ce qui est en cause, c’est le sentiment de culpabilité au sens large « j’aurais dû … », « je n’ai pas osé », « j’ai été lâche », etc. et bien souvent cette culpabilité est oubliée ou refoulée. Ce qui fait dire au docteur Thomas-Lamotte qu’un entretien réussi est celui au cours duquel, le patient lui avouera « cela, je ne l’ai jamais dit à personne ».
Il établit également les correspondances entre la nature de l’événement initial et l’organe symbole qui métabolisera la maladie. Chaque organe est pour ainsi dire le « réceptacle symbolique » d’une émotion engendrée par : l’insécurité, le manque, l’abandon, la non reconnaissance, etc.
Une approche qui lui vaut, comme pour beaucoup de précurseurs, une attitude condescendante de la part de ses pairs, mais une approche et une écoute qui a permis à des milliers de patients de voir disparaître leurs symptômes.
Quelques exemples :
- L’entourage d’une femme handicapée se désagrège : décès d’une amie, déménagement d’un frère. Ses plaquettes qui assurent l’agrégation du sang (les « Liens du sang ») tombent de 160000/mm3 à 4000/mm3. Guérison après le déménagement vers le milieu familial.
- Une parkinsonienne a depuis plusieurs mois une douleur postérieure du bras droit. Six mois auparavant, son médecin traitant lui a imposé un fauteuil roulant sans en discuter avec elle. Le lendemain, après l’aveu de la « trahison », la douleur a disparu.
- Un malade doit être opéré d’un canal lombaire étroit qui l’empêche de faire ses courses en ville. Il se réconcilie avec un neveu auquel il a refusé de prêter de l’argent. Il peut à nouveau aller dépenser son argent en ville. »